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Le fond de page (1er août 2009)

Dans une logique ponctuelle et événementielle le fond de page à été utilisé comme support publicitaire dans le début des années 2000.

La première utilisation médiatisée de cette technique fut probablement l’usage qu’en fit Disney pour le lancement du film les 101 Dalmatiens aux Etats Unis.
Les sites supports arboraient alors un fond de page blanc tacheté de noir dans le plus pur effet dalmatien.

Ci-dessous, l’annonceur Kit Kat a également utilisé cette technique sur un site espagnol.

Un exemple français avec IBM sur le Journal du Net en mars 2000.
On pouvait remarquer que l’annonceur s’était fait discret dans les tons utilisés pour ne pas gêner la lecture.
Le message bénéficiait cependant d’un bon impact dans la mesure ou le fond d’écran était le premier élément à apparaître dans le navigateur.

L’originalité de la méthode assurait à priori une bonne mémorisation et un bon impact, d’autant plus que le fond d’écran était normalement le premier élément à apparaître lors du chargement de la page.
Elle assure également une très bonne exposition de l’annonce puisqu’elle occupe toute la page ou tout le site.

Les limites

La campagne ne pouvait être qu’exceptionnelle et ponctuelle car elle bouleversait le graphisme des sites supports. Elle nécessite de plus une négociation sur mesure car ce n’est pas une prestation prévue par les sites supports. Elle convient davantage aux sites éditoriaux ou les fonds d’écran sont plus homogène.

Le fond de page qui n’était pas cliquable était complété par un bandeau ou autre point graphique qui permettait éventuellement au lecteur de cliquer pour connaître davantage la proposition de l’annonceur.

Le fond de page a désormais été remplacé dans son principe par l’habillage de page.